je ne veux plus etre sa maitresse
AuxPieds de Maîtresse Julia. En entrant, tu te soumettras ! A ma voix, tu obéiras sans sourciller ! A mes pieds, tu te prosterneras ! Avant tout, il existe un monde alternatif, le mien. De surcroît, dans ce monde il n'existe qu'une loi : "La liberté, c'est l'esclavage" !
Faitesvous du bien : pleurez un bon coup (si vous n’y arrivez pas, faites des pâtes à l’oignon) et laissez tomber, cette relation ne vous apportera que des questionnements et pas beaucoup de satisfaction. (*) afin d’éviter toute mauvaise interprétation, je tiens à rappeler qu’une verge est une baguette de bois qui servait à
Jene veux plus jamais te voir. La seule chose que tu as le droit de faire, c’est de voir ton enfant une fois par semaine et de payer une pension alimentaire de façon régulière ! Mon mari m’a regardée avec étonnement, mais bientôt il a baissé la tête et a quitté la maison.
Jelui avoue ne plus avoir d'amour pour elle (sans lui avouer mon infidélité, car je veux continuer de voir mon enfant). J'en informe ma
maisma "maitresse" commence à avoir du mal avec cette idée elle en veut plus! elle qui voulais pourtant ne pas s'impliquer émotionnellement. je ne veux pas la rendre malheureuse. ni l'une , nil'autre d'ailleurs! "l'Homme propose, la Femme dispose".
Starstruck Rencontre Avec Une Star Streaming Vostfr. On connaît déjà la souffrance que vivent les femmes trompées. Mais on s’attarde rarement à celle que vivent les maîtresses. Rose-Marie Charest, clinicienne et ex-présidente de l’Ordre des psychologues du Québec, nous parle de la détresse de la méchante » maîtresse. Et une femme nous livre, avec grande générosité, le récit de son histoire passée avec un homme marié. Une relation qui l’a anéantie et dont elle porte toujours les séquelles. Entrevue avec Rose-Marie Charest Vous avez déjà mentionné qu’en général, les hommes attachent peu d’importance à leur maîtresse, qu’elle ne tient pas une place significative dans leur vie affective. Croyez-vous que les femmes sont aussi capables de vivre avec leur amant une relation dépourvue de sentiment amoureux? Il y en a peut-être, mais je n’en ai jamais rencontré. Bien sûr, si la femme est déjà en couple, il est possible qu’elle s’investisse moins dans sa relation extraconjugale. Mais cela demeure théorique. Car je vois beaucoup de femmes qui, au départ, se disent Je vais le prendre pour ce qu’il peut m’apporter.» Mais elles finissent par avoir des attentes, à s’attacher et à souffrir de la non-réciprocité. Elles ont un désir amoureux qui dépasse largement le désir sexuel. On juge beaucoup les maîtresses. Pourrait-on aussi les plaindre? Elles ont été abondamment jugées. On les considère comme la méchante du trio. Souvent même, la femme qui découvre que son mari la trompe en voudra davantage à la maîtresse qu’à son propre conjoint. Et, pourtant, c’est lui qui a manqué à son engagement, qui était lié par une promesse de fidélité. On fait encore beaucoup porter à la femme la responsabilité de la sexualité de l’homme. C’est de sa faute, c’est elle qui l’a attiré! Bien sûr, elle a sa part de responsabilité. Mais il est très rare qu’un homme séduise une femme en lui avouant d’emblée Je suis engagé et je ne laisserai jamais ma femme, je cherche une aventure.» La plupart du temps, il laisse entrevoir un espoir. Quand les enfants seront grands… on ne sait jamais… ça ne va pas très bien avec ma femme…» On sait à quel point l’imaginaire contribue largement à l’attachement amoureux. Et c’est encore plus vrai dans ce type de relation. Il est facile pour une femme d’imaginer que son amant souhaiterait être plus présent, mais qu’il ne peut pas. Normalement, lorsqu’un homme ne donne pas signe de vie pendant des jours, on prend bonne note de son désintérêt. Mais s’il est engagé, on veut bien attribuer son silence à ses obligations d’homme marié. Facile aussi d’imaginer comme la vie serait donc merveilleuse si l’homme qu’on aime était disponible. Une image forte, qui accentue le sentiment amoureux. Beaucoup de femmes préfèrent se contenter du peu qu’elles reçoivent même en sachant que cet amour est impossible. Car les quelques heures passées avec leur amant sont généralement des moments de grâce, intenses et passionnels. Or, dans la vraie vie, une relation de couple n’est pas constituée exclusivement d’ébats passionnels. Il y a aussi le quotidien, les petits tracas, la fatigue, qui finissent par peser sur la relation. Lorsqu’on fréquente un homme à raison de quelques heures par semaine, on peut avoir tendance à l’idéaliser. C’est pour cette raison que ces femmes ont de la difficulté à rencontrer d’autres partenaires. Elles trouvent leur amant tellement extraordinaire que tous les autres ne font pas le poids à côté. Les maîtresses se sentent-elles coupables, jugées? Craignent-elles de se confier à leurs proches? Oui. Elles vivent énormément d’isolement et de honte. Elles ont peur d’être découvertes, vivent dans le secret et n’osent pas se confier. Et, le plus souvent, elles ont peur que lui soit découvert. Et que cela mette fin à la relation. Pourtant, elles pourraient aisément prendre le téléphone et dévoiler au grand jour leur secret à l’épouse, ce qui, en principe, devrait leur apporter ce qu’elles désirent le plus la rupture du mariage de leur amant. Mais elles ne le font pas. On peut penser qu’elles s’abstiennent de passer à l’acte, car cela changerait la dynamique de leur relation. Il y a quelque chose de très particulier dans le fait d’aimer un homme qui est aimé par une autre femme. Cela n’est pas sans rappeler le couple parental, nos parents, qu’on voulait unis. Il y a donc une certaine volonté de ne pas faire éclater le couple. Des femmes sont-elles plus enclines que d’autres à s’engager dans une relation interdite? Certaines femmes cumulent les relations d’amours interdits. Sur le plan psychologique, il y a une dynamique qui fait qu’on peut être attirée par un homme inaccessible. Ce sont souvent des femmes qui ont peur de l’intimité et de l’engagement. Mais cette peur ne les empêche pas d’avoir un désir amoureux. S’attacher à un homme engagé satisfait ces deux besoins être dans une relation amoureuse sans intimité ni engagement. Même si, consciemment, la femme désire vivre le quotidien avec cet homme, une relation à temps partiel n’éveille pas sa peur irrationnelle de l’intimité, c’est plus confortable. La maîtresse vit dans l’attente que son amoureux devienne libre. Quelles en sont les répercussions sur sa santé psychologique? Cela fragilise l’estime de soi. Attendre d’être choisie et ne pas l’être finit par la brimer. C’est toute la vie sociale qui s’en ressent. Le fait de porter un secret, de ne jamais être vue en couple, d’être seule dans les moments difficiles, comme lorsque surviennent la maladie ou les soucis financiers. C’est sans compter qu’elle doit souvent faire le deuil de la maternité. Ne pas être choisie représente beaucoup de pertes et peut entraîner des souffrances importantes, qui peuvent aller jusqu’à la dépression. On a tendance à banaliser la souffrance de la maîtresse. Pourtant, celle-ci vit une réelle et très grande détresse. D’autant plus qu’on sait à quel point la relation amoureuse occupe une place centrale dans la vie des femmes. Celles qui sont aux prises avec une telle relation devraient cesser de se juger et de se culpabiliser. Elles auraient intérêt à entreprendre une démarche pour parvenir à faire des choix plus constructifs. À lire Les femmes, ces menteuses Une maîtresse témoigne sad woman profile silhouette in dark Je l’ai tout de suite reconnu. Un jumeau, une âme sœur, un alter ego. Nous avions le même humour, nous partagions les mêmes valeurs, les mêmes intérêts. Pendant quelques années, notre relation a été platonique. C’était pour moi un frère bienveillant. J’ai fini par sentir qu’il s’éprenait de moi, qu’il était sensible à mon charme, tout en se gardant de l’exprimer. J’étais aussi très attachée à lui, mais je ne voulais pas d’une relation avec un homme marié. Par respect pour moi et pour l’autre femme. Puis, un jour, portés par l’ivresse du classique verre de vin, dans une ambiance propice au rapprochement, nous avons laissé nos bonnes intentions de côté. Mon attirance pour lui a eu raison de mes principes. Le barrage a cédé. Nous avons vécu une folle passion. Les rendez-vous dans l’ombre, le cœur qui bat la chamade, les courriels enflammés… Nous volions si haut. Au bout de deux mois, j’ai néanmoins voulu rompre. Je souffrais déjà d’être second violon. À mes yeux, notre amour méritait d’être vécu en plein soleil. Je ressentais aussi de la culpabilité envers sa femme, que je ne connaissais pas. Elle s’interposait entre nous tel un fantôme. Quand je lui ai annoncé ma décision, il m’a répété à maintes reprises, les yeux plantés dans les miens, le ton solennel Je t’aime profondément, tu es la femme de ma vie. Je ne te laisserai pas tomber. Attends-moi.» Je n’ai pas douté une seconde de sa sincérité. J’étais certaine qu’il allait honorer son engagement. Après tout, je le connaissais depuis longtemps. Nous étions en phase sur tous les plans spirituel, philosophique, sexuel, affectif. Je l’admirais beaucoup. J’étais fière qu’un homme d’une telle envergure s’intéresse à moi. Il correspondait en tout point au compagnon de vie que j’avais dessiné dans ma tête vif d’esprit, cultivé, drôle, sensible aux autres, tendre. Alors j’ai attendu. Longtemps. Les années qui ont suivi m’ont marquée au fer rouge. Mon chum» refusait de me considérer comme sa maîtresse. J’étais son grand amour». Étais-je naïve? Je ne crois pas. Je continue de penser, encore aujourd’hui, qu’il était sincèrement épris. Il n’était pas le genre à cumuler les aventures et à se jouer des femmes. Sauf que la situation a fini par me rendre dingue. Je dormais mal, je mangeais peu, je prenais des médicaments, je pleurais tous les jours. Je lui cachais toutefois mon désarroi, de peur de le faire fuir. Lorsque venait le temps des vacances familiales, il se sentait coupable et me couvrait de cadeaux. Je redoutais ces périodes durant lesquelles il se rapprochait de sa famille. Rongée par l’angoisse, j’étais toujours dans l’attente d’un coup de téléphone ou d’un courriel. Il me racontait les balades en vélo, la vue magnifique, les soupers chez le beau-frère. Je l’imaginais avec les siens et ça m’anéantissait. Je ne supportais plus de ne pas être choisie. J’ai fini par le confronter, car je sentais qu’il ne passerait pas à l’acte. C’est durant un week-end à son chalet qu’il m’a annoncé, par courriel, qu’il ne quitterait pas sa femme. Il n’y a pas de mot pour décrire ma douleur. J’ai senti le sol se dérober sous mes pieds. Peu de temps après, on m’a d’ailleurs diagnostiqué une dépression majeure. Selon ma psychiatre, cette rupture amoureuse fut l’équivalent sur le plan psychiatrique d’un arrêt cardiaque. En effet, mon cœur s’était arrêté. J’ai cessé de travailler. Je me suis bercée pendant des mois sur la véranda chez ma mère. Nous avons coupé les ponts pendant un bout de temps avant de renouer. Il a fini par me refaire les mêmes promesses, avec la même ardeur. Les choses ont évolué», disait-il. Je pense qu’il voulait y croire. Moi, en tout cas, j’y ai cru une deuxième fois. Il a d’ailleurs annoncé à sa femme et à ses enfants son intention de quitter le nid familial. Il a pris les services d’un agent immobilier afin de vendre sa propriété. Notre projet de vie commune reprenait forme. Nous allions vivre dans cette jolie petite maison que nous avions repérée, il allait me faire des enfants. J’avais hâte de le présenter à ma famille – la plupart des membres ignoraient ma relation avec lui. Il n’y a pas de fierté à dire qu’on voit un homme qui n’est pas libre. Et puis, je n’avais pas le goût d’entendre Ma pauvre fille, tu vas te briser.» À lire Comment soutenir une amie qui vit une relation abusive Quelques semaines après avoir dit à sa femme qu’il la quittait, il est redevenu fuyant. Il s’est mis à espacer nos rendez-vous, son ton changeait. Et il ne faisait toujours pas sa valise… Alors je l’ai à nouveau confronté. Je me souviens parfaitement de la scène j’étais dans une cabine téléphonique au centre-ville de Montréal. Je cognais sur les parois en hurlant de douleur. Il a promis de venir me voir en personne pour s’expliquer. Il ne l’a jamais fait. Je crois que c’est lorsqu’il a été question de vendre sa maison qu’il a reculé. Ses enfants étaient aussi bouleversés par la séparation éventuelle de leurs parents. Il ne supportait pas la perspective d’incarner à leurs yeux le rôle du méchant qui quitte leur mère. J’ai le sentiment que ma principale rivale n’était pas tant sa femme que tout ce qu’ils avaient construit ensemble les enfants, leur maison, le chalet, les amis, le standing, le confort. Les hommes se définissent beaucoup par leur réussite familiale. Ils n’osent pas faire éclater cette cellule, qui symbolise l’aboutissement d’un projet de vie. Je lui en veux encore d’avoir fait passer tout cela avant nous. Il a beaucoup utilisé l’excuse des enfants. Aujourd’hui pourtant, ils sont adultes, ils ont quitté le nid. Mais lui n’est pas parti. Comment faisait-il pour vivre sans moi s’il m’aimait autant qu’il le prétendait? Ça reste, à ce jour, un grand mystère. J’étais dans l’illusion qu’il percevait cet amour de la même manière que moi. Dans l’absolu. Mais non. L’autre est toujours un autre que soi. Il a son univers, son jardin secret, sa propre conception des choses. C’est la conclusion que je tire de cet épisode de ma vie, dont je porte toujours les séquelles. Une partie de moi est abîmée à jamais. Si je lui en veux d’avoir nourri mon espoir si longtemps, si je lui en veux de m’avoir trahie à mort, je sais aussi que j’ai contribué à mon malheur. J’ai fait un mauvais choix – je l’assume. J’ai gâché ma trentaine. C’est un épisode de ma vie dont je parle rarement parce que je supporte mal les jugements à l’emporte-pièce. Notre histoire n’est pas celle d’une fille naïve qui s’est fait avoir par un salaud qui trompait sa femme. Je n’étais pas non plus une voleuse de mari». Les gens ont tendance à poser des étiquettes pour se rassurer. Il y a le bien d’un côté, le mal de l’autre. Alors qu’il y a un océan de nuances et de subtilités entre les deux. Les êtres sont si complexes. À lire Chez les milléniaux, l’amour n’a pas de sexe
Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air à ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageEleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Receuillement pv Ven 22 Juin 2007 - 2349 Elea avait passer une journée épuisante. Elle rentré d'un mission éreintante. En entrant dans son ranch elle vit accourir "upy" son elfe avec un nécessaire à pharmacie. Elle avait prévenu qu'elle risquait d'en avoir besoin dès son retour. Son bras droit était livide. Du sang coulait sur son bas ventre son ancienne blessure qui datait de quelques jours s'était réouverte, lors des épreuves de la soirée prévu dans le prochain rp a askaban . Elle ferma les yeux et souffla avant de se remettre debout et de regarder son elfe."-Prépare tout "upy" je vais déjà prendre une douche afin de tout nettoyer je revient après"Elle monta difficilement les marchent menant à sa chambre et sa salle de bain. Le contact de l'eau chaude sur la jeune femme lui fit un bien fou. Malgré la douleur lancinante et le sang qui coulait sur le carrelage de la douche, elle sentait une sensation de bien être dans la vapeur d'eau chaude. Elle resta un long moment dans se cocon privé avant de se résoudre à sortir. S'enroulant dans une serviette elle descendit et s'installa dans le canapé. Upy avait préparer le nécessaire de couture. difficilement elle se remit à recoudre son ventre, grinçant des dents. Elle regardait son elfe prendre soin d'elle. "Tu sais ca me rappel le temps ou ma mère me soignait nos bobos petites. C'était une superbe infirmière très douée"Upy n'osait parler elle l'écoutait. Elle savait que sa maitresse détestait qu'on lui pose des questions, et elle n'était pas là pour faire la curieuse. Elea le savait et appréciait la discrétion de son elfe. Mais elle venait de parler de sa mère se qui était rare. Du coup tout se chamboulait dans sa tête, en plus souvenir et de l'excitation de la soirée voilà que les vieux souvenirs d'enfances s'y mêlait. Si sa mère la voyait aujourd'hui elle serait surement déçu de sa fille. C'est la raison pour laquelle elle avait fait une croix sur son passé. Secouant la tête pour chasser ces idées. Une fois terminé, elle se leva en difficulté et regarda upy"Merci upy tu peu aller te coucher à présent je vais essayer dans faire autant."Malheureusement la nuit fut dure. Elle tournait dans son lit, elle entendait le vent frapper sur la fenêtre. Elle avait trop d'adrénaline encore en tête en repensant à tous ce qu'elle avait vécu la journée même. Cette mission avait été dangereuse mais passionnante. Elle avait rencontré de nouveau mangemorts, certains lui avait montré un tel sang froid qu'elle n'avait qu'une seule hâte vivre la prochaine mission avec eux. Pour le moment il était clair qu'elle n'arriverait pas à dormir. Elle se décida à se relever et à s'habiller.*Heinrish tel que je le connait doit être au repère, je vais aller voir sa me détendra*Descendant au rez de chaussé, elle vit sur la table basse le nécessaire à pharmacie. d'office ces pensées retournèrent vers sa mère, elle n'arrivait plus à l'enlever de sa tête. Elle prit sa baguette et transplana à son bureau....Du moins le pensait elle. Mais les pensées sont parfois trompeuse et elle ne reconnu pas de suite le lieu ou elle avait attérit. Une chose est sûr elle n'était pas au repère. Elle mit un moment à savoir ou elle était. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venue ici. Depuis qu'elle était devenue mangemorte elle avait oublier son passé. Mais à présent elle savait que si elle faisait quelques pas devant elle et y verrait la tombe de sa mère , une pierre tombale en marbre blanc sur laquelle serait indiqué " Gabrielle Anne Godfroy, que son repos soit éternel"Elle connaissait ces paroles par coeur. Pourtant la jeune femme fit demi tour prête à retransplaner. Mais au bout d'un pas elle stoppa. *Après tout*De nouveau elle pivota et s'avança. De nouveau elle stoppa à l'approche de l'emplacement ou on pouvait distingué la pierre. Mais une silhouette était accroupi sur la dites pierre. quelqu'un l'avait devancer. Elle ne pouvait pas distinguer qui était cette personne. Tout comme cette dernière qui ne pouvait distingué qu'une longue cape noir et la capuche qu'elle avait mise sur la tête ne laissant apparaitre que ces yeux qu'elle tenait de son père. InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Sam 23 Juin 2007 - 058 Frederic Godfroy n’était pas venu depuis un long moment se promener entre les multiples pierres tombales et monument ou reposait depuis des années sa chère femme qu’il n'avait pas a son plus grand déshonneur aimer comme elle le méritait pendant son jeune âge. Ce devait être pour cette raison que son cœur se brisait à chaque fois que sa présence se fessait en cet endroit. Une douleur rauque dans la poitrine et une boule dans l’estomac, le chagrin que l’homme portait depuis des années n’avait jamais pu réellement disparaître. Il était parti oubliant sa famille pendant quelque année, pour des cause qui jadis lui semblait juste. Mais son retour au pays fut scander d’horreur à la vue de la mort de sa femme et a la disparition de sa seul et unique fille. Il aurait pu, non il aurait du être la pour protéger son trésor le plus cher, sa propre famille, mais l’immaturité de la jeunesse l’avait conduit ailleurs dans des missions dont il aurait pu si le désir lui était venu, ne pas y participer. Bien que toute sa carrière au sein de la justice magique fut glorifier par sa donation complète de sa vie à son métier, jamais il ne pu s’empêcher de se reprocher cette erreur. Le métier comme plusieurs hommes avant lui, était devenue plus important que la famille et cela lui avait couter ses plus belle année de Godfroy était vêtue en cette nuit d’un long manteau noir classique de style moldus. Coiffée de son immortel chapeau sombre délaissant sur son regard une ombre épaisse jusqu’au bas de son nez, dans sa main droite gantée, une cane fait de bois massif teindu noir ou y reposait à son sommet une boule de Crystal, l’aidait à marcher sur la terre défraichie qui s'étalait sur le terrain. Pas que cet homme aille réellement besoin de cette aide pour marcher, son corps malgré la vieillesse était encore valide et en pleine les steppes regardant avec désespoir les multiples nom sur les pierres tombales il reconnue aisément celle de sa femme fait de marbre blanc ou y était graver sous la poussière et la boue le nom de sa douce défunte, Gabrielle Anne Godfroy. Tenant un bouquet de rose dans sa seconde main il déposa sa cane sur le sol s’agenouillant devant la dalle élever du sol, arrachant pour lancer plus loin les mauvaise herbe qui était venue se former autour de que ses visites se fessait de plus en plus rare Frederic ne pouvait s’empêcher de donner tout son cœur a l’ouvrage pour rendre l’endroit accueillant et beau, étant le dernier membres de sa famille à pouvoir s’y en l’herbe fut débarrasser de ses saletés, il nettoya grâce à sa baguette la surface de la pierre pour ensuite y déposer un baiser et les roses qu’il avait apporter. Parlant à voie basse, il raconta les dernier évènement de sa vie a l’esprit perceptible dans l’air de son épouse qui jamais ne l’avait quitter. Ensuite dans un recueil profond, il ferma ses yeux ridés priant une dernière fois pour que l’esprit de sa femme puisse reposer en lors de la dernière récitation des phrases religieuse en son esprit que l’homme entendu un bruissement de vêtement derrière lui. Son instinct d’Auror le fit retourner d’un jeste rapide baguette lever devant la silhouette qui se traçait dans l’ - Lumos !De la pointe de la baguette une puissante lumière vive illumina les horizon fessant enfuir l’obscurité a quelque mètre de distance, mais la silhouette restait indéfinissable tapis plus loin dans l’ombre seul son regard était perceptible. Un regard qu’il connaissait bien.. mais qu’il ne réussie pas sur le moment à reconnaître…Atticus – Qui êtes vous.. Si vous voulez me voler, sachez que malgré mon âge je suis encore capable de vous mettre au sol jeune homme ! Il avait prononcer ses paroles sens même se douter un instant que la personne devant lui n'était pas un homme mais une femme... Dans le noir et à son âge, se tromper était chose courante. Eleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Re Receuillement pv Lun 25 Juin 2007 - 2224 Elle resta un moment à regarder cet individu. était il là pour piller les tombes, si cela était le cas il allait en souffrir et même en mourir. Mais il ne s'agissait pas d'un moldu débile qui passe ces temps de libres a piller les défunts. Il était bel et bien sorcier. Il paraissait avoir l'oreille et être sur ces gardes, elle pu le voir sursauter au premier bruit et à lui lance un lumos pour éclairer l'endroit ou elle se posté. Sa voie montrait son âge avancer. Mais que faisait il ici, qui était il pour oser se recueillir sur la tombe de sa .....Le temps d'un instant elle se posa des questions. Des questions improbables. Il ne pouvait pas être de sa famille. Car elle n'avait plus de famille. Cela faisait tellement longtemps qu'elle avait chercher en vain son père qu'elle s'était elle même convaincue de sa mort. Il lui était impossible d'imaginer aujourd'hui que cet homme pourrait l'être. En revanche elle penchait peu être pour une ancienne connaissance de ces parents. Elle respecta qu'il aille l'amabilité de prendre soin de cette pierre représentant le dernier signe de l'existence de sa mère. Quel qu'il soit il ne risquait rien. Même si elle savait que sa mère aurait mal réagit par ces activités présente, l'amour qu'elle lui avait porté n'avait Qui êtes vous.. Si vous voulez me voler, sachez que malgré mon âge jesuis encore capable de vous mettre au sol jeune homme !Elle ricana doucement à sa bien là les habitude des sorciers, se croire invincibles face aux intrus sans oser se demander de qui il pouvait s'agir. Elle resta calme toujours respectueuse. mais n'avança pas de suite. toutefois elle baissa sa capuche sans aucune idées des répercutions que cela pourraient donnés. "- Du calme vieil homme je ne compte pas vous volez et encore moins vous faire du mal. Surtout Vis à vis d'un homme qui prend soin des défunts. En revanche je me demande bien pourquoi vous avez choisi celle là? Connaissiez vous ma mère, car il s'agit bien de sa stèle sur laquelle vous êtes agenouiller."Elle avança de quelques pas. l'obscurité mêlé au chapeau que l'homme portait la faisait toujours ignorer sa véritable identité. InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Mar 3 Juil 2007 - 1748 "- Du calme vieil homme je ne compte pas vous volez et encore moins vous faire du mal. Surtout Vis à vis d'un homme qui prend soin des défunts. En revanche, je me demande bien pourquoi vous avez choisi celle là? Connaissiez vous ma mère, car il s'agit bien de sa stèle sur laquelle vous êtes agenouiller."La jeune demoiselle avait enlever la capuche qui décelait son visage avançant de quelque pas vers Godfroy qui ne réagit pas sur le moment. Elle devait se tromper, cette tombe n’avait pas été visiter depuis longtemps et c’était bien et bien le nom de sa femme qui était inscrit dans la pierre. Regardant de ses yeux ombrés, le visage familier de la jeune demoiselle, Godfroy sentie son cœur sursautée un instant une sensation bizarre l’enveloppant. Les bouts de ses doigts se mirent à s’engourdir et sa tête a tourner. Reculant d’un pas il prit appuie sur sa cane puis plaça une main sur le sommet de la stèle. Pourquoi était t’il tout a coup étourdit ? Elle ne semblait pas porter de baguette donc un ensorcellement n’en était pas la cause. Mais ses yeux, oui ses yeux lui était familier.. Cherchant un instant dans son esprit sans pour autant perdre de vue la femme, il chercha le lien, un souvenir lui rappelant ou il aurait déjà vu ce regard. Mais rien son esprit le laissant dans les ébènes, Godfroy ne pouvait se rappeler.. Et si ? Non elle devait se tromper.. C’était.. C’était tout simplement impossible.. Elle ne pouvait être sa fille ! Son enfant, était morte et bien.. Après toute ses année il sent était persuader..Atticus – Vous, vous devez vous tromper, cette pierre tombale est celle de ma défunte épouse et elle ne fut visiter depuis un moment.. Peut être vous êtes vous tromper de chemin pour vous rendre à cet endroit, la nuit et la pénombre peuvent être trompeuse, celle que vous chercher doit se trouver à un endroit ressemblant… restons logique… Frederic eu un petit rire qui cachait bien mal son anxiété. Il se plaça de pivaux, gardant appuis sur le sommet de la pierre et éteigna sa baguette avant de la rangée dans une poche intérieure, prit d’une puissante toux. Il sortie un mouchoir de tissue et l’amena devant sa bouche continuant à tousser quelque instant avant que ses poumons ne se calme. Ressentant une chaleur l’envelopper surement du au stress du moment, Godfroy enleva son chapeau le déposant sur le coin de la stèle puis se retourna vers la jeune femme, pour lui demander…Atticus – dites-moi.. Comment vous appelez-vous ? Eleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Re Receuillement pv Mer 4 Juil 2007 - 1658 Atticus– Vous, vous devez vous tromper, cette pierre tombale est celle de madéfunte épouse et elle ne fut visiter depuis un moment.. Peut être vousêtes vous tromper de chemin pour vous rendre à cet endroit, la nuit etla pénombre peuvent être trompeuse, celle que vous chercher doit setrouver à un endroit ressemblant… restons logique… Elle n'était pas venue ici dans l'intention de sortir sa baguette et encore moins pour lancer un sort sur un vieil homme qui apparemment perdait la têteMais se qu'il venait de lui dire la mettait hors d'elle. Comment osait il s'approprier sa mère. Prenant le rôle de son père défunt à non. elle bouillait intérieurement sa main crisper sur sa viel homme. Et si c'était vous qui vous trompiez. je connais le chemin qui mène ici et même s'il est vrai que je suis très rarement venu ici. Je sais reconnaitre la tombe de ma mère!!Elle resta sur place regardant l'homme qui se mit a tousser. Elle ne savait pas vraiment si elle devait l'aider, encore persuader qu'il s'était tromper d'endroit. Mais son regard à lui en disait tout autre. Dans l'obscurité elle n'arrivait pas à entrevoir ces yeux. Lorsque sa toux se calma elle se mit a parler haut et fort Les inscriptions qu'il pouvait lire sur la pierre . "Gabrielle Anne Godfroy, que son repos soit éternel" Puis elle avança de quelques pas" Gabrielle était ma mère je le sais et..Avançant en même temps qu'elle parlait elle se bloqua en apercevant le regard de l'homme qui venait de lui demander son nom. Ces yeux elle pouvait être sûr qu'elle ne les oublieraient jamais, pour les voir elle même tout les matin dans la glace Elle avait tant de fois montrer une photo qu'elle gardait toujours dans sa poche au cas ou elle aurait eu une piste. Puis elle avait abandonné de le chercher, c'était persuader de sa mort. Mais était ce possible. Elle n'arrivait pas à lui répondre. Elle avança à nouveau d'un pas timide et incertains. Jamais on aurait pu croire à cet instant précis qu'il s'agissait d'une mangemort. L'espace d'un instant elle venait de faire un bons dans le passer de plusieurs années. Bien avant qu'elle ne devienne la femme noire d'aujourd'hui. L'homme la fixait, l'ambiance était des deux n'osait plus parler. Elle ferma les yeux humides. Puis les réouvrit le scrutant du regard en plissant ces yeux afin d'être sûr. "Pa..Se n'est pas poss..ible...Vous..Enfin.....papa?" InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Dim 2 Sep 2007 - 716 Godfroy restait de glace, il ne savait que trop répondre lorsque la jeune femme révéla le nom de sa défunte épouse, proclamant qu’elle était sa fille.. Étais-ce un piège ? Ou disait-elle la vérité, Frédéric ne savait plus quoi en pensée son regard porter sur celui de la jeune femme, il devait avouer malgré sa volonté de ne pas y croire que ses yeux dévoilait bien sa réelle identité. "Pa..Se n'est pas poss..ible...Vous..Enfin.....papa?"Le cœur de Frédéric débattit à ses mots, si longtemps il avait espérer les entendre à nouveau. Ses yeux s’imbibèrent d’eau, puis des larmes coulure sur ses joues tandis que son visage restait neutre, froid, perdu.. Il fini par ouvrir ses bras avançant vers sa fille avant de l’étreindre dans ceux-ci.. Aucune parole ne sortie de sa bouche, que des sanglot.. Et un silence qui en disait ainsi près d’une minute il reprit enfin ses esprit passant ses mains sur le dos de sa fille pour les accotée finalement sur ses épaules comme il le fessait lorsqu’elle était jeune et qu’il devait lui annoncer quelque chose d’important. Le regard plongé dans celui de Combs, il ouvrit la bouche, inspira et dit..Atticus – Je… Je tes chercher si longtemps.. Et puis l’homme recommença ses sanglots, étreignant à nouveau sa fille la serrant cette fois si plus fort, comme s’il avait peur qu’elle ne disparaisse.. Atticus – Si tu s’avais combien j’ai pu prier de te retrouver en vain.. Et te voilà.. Si grande.. Si belle.. Si tu s’avais combien je suis heureux.. Je t’aime tellement !Frederic relâcha finalement ses muscles et recula d’un pas pour mieux regarder sa fille, passant son regard de haut en bas, comme s’il regardait un joyaux. S'il aurait pu.. Il l’aurait sans doute fait tourner, pour scruter chaque petite partie de ce qu’elle était devenue.. Trop de temps avait passer.. Trop de temps qu’il voulait contempler.. Atticus – Dit moi.. Qu’a tu fais tout ce temps ? .. Qu’est tu devenue ? A tu un marie ? A tu des enfants ? .. Mais je m’écoute et je te pause trop de question. Rire Il y a temps de chose dont nous devons discuter.. Tant de chose qui se sont passée.. Eleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Re Receuillement pv Mar 18 Sep 2007 - 2251 Elle ne bougeait pas, elle était pétrifié sur place. Elle....une mangemorte. Son père....s'était bel et bien son père qui venait de se levé après quelques minutes d'attentes et d'incompréhension. Lui qui la serrait à présent dans ces bras. Elle n'y croyait plus qu'allait il se passé maintenant? Comment allait il prendre le fait que sa fille dans le temps auror puisse être passé du coté sombre, ... et pas qu'un peu ^^. Atticus – Je… Je tes chercher si longtemps.. Alors il l'avait chercher. Elle qui pensait tellement que son père soit mort. En fait il la cherchait. Elle...durant tout se temps. Comment avait elle put pensé qu'il puisse être mort. Mais en même temps cela avait été tellement logique, que même les aurors l'avaient crus, ils lui vaient fait une si belle cérémonie d'adieu. D'ailleurs une stelle avait été mise non loin de Si tu s’avais combien j’ai pu prier de te retrouver en vain.. Et tevoilà.. Si grande.. Si belle.. Si tu s’avais combien je suis heureux..Je t’aime tellement !il l'aime... elle... mon dieu tant de chose la bousculait en tête. Comment pouvait on aimer une fille mangemorte qui produit la mort et la douleur par pure plaisir de surcroit. Comment allait il prendre le fait que sa propre fille soit devenu l'une des têtes de ces anciens ennemis. S'il n'était pas encore mort malgré son âge elle lui donnerait le coup de grace par cette simple nouvelle. Mon dieu elle était dans de beaux draps. A peine son père retrouver qu'elle allait le reperdre. Si seulement elle n'était pas revenu ici ce soir.... Pourquoi SE soir. elle aurait continuer sa vie de tueuse sachant que ces parents devaient se retournés dans leurs tombes Dit moi.. Qu’a tu fais tout ce temps ? .. Qu’est tu devenue ? A tu unmarie ? A tu des enfants ? .. Mais je m’écoute et je te pause trop dequestion. Rire Il y a temps de chose dont nous devons discuter.. Tant de chose qui se sont passée..et voilà la question direct... de suite la mauvaise. Qu'allait elle lui dire. mon dieu . Elle souriait mais il était coincé par le manque d'inspiration pour une réponse qui ne soit pas un mensonge mais néanmoins pas la totale vérité. Elle bafouilla un peu mais restait impassible, le regard sans et bien j'ai fait un peu de cours a poudlard fut un temps en tant que professeur d'astrologie. eu oui j'ai trois filles deux jumelles alexandra et emma et ma petite tsunamie. Les jumelles sont a beaux bâtons et tsunamie a la maison elle n'est pas bien vieille. Leur père vient de mourir. et enfin voilà sinon je travail dans un complexe "le wizz fun" mais c'est provisoire. Et toi papa que deviens tu? Elle avait de suite enchainer par la question afin de ne pas lui laisser le temps d'analysé la situation. Elle se rappelait qu'il lui était difficile de dissimulé des choses à son père. Auror de mérite il avait l'oeil et toujours aux aguets. InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Jeu 20 Sep 2007 - 1740 Elea et bien j'ai fait un peu de cours a poudlard fut un temps en tant que professeur d'astrologie. eu oui j'ai trois filles deux jumelles alexandra et emma et ma petite tsunamie. Les jumelles sont a beaux bâtons et tsunamie a la maison elle n'est pas bien vieille. Leur père vient de mourir. et enfin voilà sinon je travail dans un complexe "le wizz fun" mais c'est provisoire. Et toi papa que deviens tu?Frederic écouta sa fille parler avec admiration, elle avait fait tant de chose dans sa vie, elle sans était bien sortie.. Mieux que ce qu’il l’avait esconter. Heureux de la s’avoir avec un emploie stable il lui donna ses plus sincères condoléances pour son mari décéder.. Et reprit la parole..Atticus – Pour ma part, j’avais prit ma retraite, je commençais à me faire un peu vieux pour jouer au Auror, j’ai donc quitter par moi-même n’étant plus capable d’accomplir à tache sans mettre en danger la vie de mes collègues. Mon fon de retraite étant bien placer, j’avais le restant de mes années devant moi.. Mais tu dois sans doute tant souvenir.. Le travail ses toute ma vie.. Et arrêter du jour au lendemain ainsi.. Se mais impossible..Godfroy ce mais a retousser.. Prend un mouchoir dans l’une de ses poches et l’apporte à sa bouche.. Atticus- Désoler, une méchante grippe qui faux que je soigne.. Donc voilà.. Je me retrouvais à la retraite lorsqu’on ma proposer d’adhérer au poste de gérant de gringotts.. L’ancien directeur étant un ami proche, il ne trouvait pas mieux que moi chez les gobelins pour prendre l’affaire.. Et j’ai accepter.. Métier beaucoup plus relaxant que celui d’auror.. Moins dangereux aussi.. Si ce n’est des mal de tête horrible que peuvent apporter ses maudits gobelins lorsqu’il se dispute comme des rejetons.. Mais passons.. Passons.. Tu ne veux surement pas s’avoir la vie d’un vieillard sur le bord de casser sa pipe.. Godfroy jette un regard furtif autour de lui et reviens sur sa jeune fille..Atticus – Que dirais tu de changer de lieu.. Celui-ci n’est pas des plus joyeux.. Veux-tu venir dans ma demeure.. ? J’ai des chambres d’ami ! Et nous pourrions ainsi discuter jusqu’a l’aube.. Si tu le désir.. Biensur.. Eleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Re Receuillement pv Ven 28 Sep 2007 - 1629 Son père était toujours tel qu'elle se souvenait dans ces moindre souvenirs. En plus vieux et plus malade aussi. Inquiète de sa mauvaise toux elle ne bougeait pour autant pas ne voulant cédé de suite à un amour qu'elle n'avait connu depuis tant d'années. C'est vrai que les années qui peuvent séparées deux être peuvent aussi les éloignés. elle se voulait d'être si proche de lui et en même temps si lointaine. Le temps jouerait son rôle à soin rythme. En attendant elle l'écoutait parler de son nouvel emploi. Soulagé qu'il ne soit plus chez les aurors. Quelle tête il aurait fait si il voyait sa fille dans le groupe d'en face. Soulagé également d'apprendre qu'il était à la banque. L'endroit ou vous pouvez être spur de ne pas être avec des mangemorts.^^ Maintenant elle se demandait s'il lisait souvent les journaux. Elle y était apparut une fois ou deux surtout après le sortit de son ex. Et les quelques grand coup d'état qui lui avait valu de devoir fuir et de prendre se foutu nom d'emprunt. Savait il que sa fille la gentille professeur d'astronomie avait attaquer son propre college, emportant avec elle la vie d'un élève. La fureur de la femme lui avait valu d'avoir son portrait durant un long mois en première page. Pourvu qu'il ne fasse pas le rapprochement. Atticus– Que dirais tu de changer de lieu.. Celui-ci n’est pas des plusjoyeux.. Veux-tu venir dans ma demeure.. ? J’ai des chambres d’ami ! Etnous pourrions ainsi discuter jusqu’a l’aube.. Si tu le désir..Biensur..Elle souria en voyant l'endroit . Elle etait comme chez elle dans les cimetières, mais il valait mieux pour lui en même temps qu'ils soit plus au chaud. Elea - avec plaisir. Toutefois avant de partir elle s'agenouilla face à la pierre tombale et déposa un baiser sur lles écritures gravé de sa mère. InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Mer 24 Oct 2007 - 1948 Ce topic est il toujours d'actualité. Si oui je suprimerai mon message. Sans réponse sous une semaine je déplacerai. Eleanor CombsNombre de messages 705Age 43Message Perso le mal est ma deviseDate d'inscription 01/05/2006Sujet Re Receuillement pv Mer 24 Oct 2007 - 2140 Hey la phrase je la connais moi chad pour ici je pense que c'est bon car on doit poursuivre chez mon papounet s'il daigne se réveiller c'est pas beau de vieillir. InvitéInvitéSujet Re Receuillement pv Mer 24 Oct 2007 - 2145 je déplace alors ^^ Contenu sponsoriséSujet Re Receuillement pv Receuillement pv Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
je ne veux plus etre sa maitresse